Lamartine, au temps oublié de l’islamophilie française
13 août 2023 14:40, par Autour du dolmenAu romantisme naïf de Lamartine, je propose la lucidité de Chateaubriand :
« À l’abri de ce malheur ? « Non pas si les gouvernements chrétiens ont la folie de discipliner les sectateurs du Coran. Ce serait un crime de lèse-civilisation que notre postérité, enchaînée peut-être, reprocherait avec des larmes de sang à quelques misérables hommes d’État de notre siècle. […] Le monde mahométan barbare a été au moment de subjuguer le monde chrétien barbare ; sans la vaillance de Charles-Martel nous porterions aujourd’hui le turban. Le monde mahométan discipliné pourrait mettre dans le même péril le monde chrétien discipliné. Il ne faut pas pour cela autant de temps que l’on se l’imagine : dix ans suffisent pour former une bonne armée ; et puisque les Cosaques, sujets du czar, sont bien venus des murailles de la Chine se baigner dans la Seine, les nègres de l’Abyssinie, esclaves du Grand Turc, pourroient très bien venir aussi se réjouir dans la cour du Louvre. » »
Non pas que je sois ennemi d’une quelconque religion, mais j’en constate tous les jours les malfaisances de leurs adeptes.
Il m’est rétorqué par des musulmans amis : "Ce ne sont pas de vrais musulmans !"
J’aimerais alors qu’il nous soit donné un moyen d’identifier les vrais, des tocards.
Ou alors, c’est une formule vide de sens qui masque la réalité guerrière.
Suis-je en droit de me demander jusqu’à quel point mes amis musulmans seront mes amis en cas de conflit ?
Revenons à Lamartine : il était pour la colonisation de l’Algérie, pays prédateur corsaire, sous domination (colonisation) ottomane, dont l’Europe et la France en particulier ont eu à en pâtir. Nombre d’esclaves vendus sur les ports de Tunis ou d’Alger étaient des hommes et des femmes prélevés sur notre territoire.
Pour y mettre fin, après des tentatives d’accords avec les USA, l’Angleterre... la France s’y est collée, ce qui ne lui a rien rapporté en termes financiers mais a mis un terme au corso. Hé oui, ce fut une guerre, parfois sans merci. Après des centaines d’années de razzias, il y eut de quoi être motivé.
Notre territoire français est désormais en but à une violence issue des mêmes, comme au temps des corsaires partant du port d’Alger.
Alors que fait-on ?
Je sais par ailleurs que ce plan invasif a été induit par les instances dites supérieures. Pour autant, c’est mon quotidien qui me préoccupe. Celui de mes filles en but à la malséance frustrée des allogènes.
Vive la Corse, ce dernier bout de France !