Le GIEC dit que les températures ont augmenté de 1,09° en 150 ans.
1) En admettant ce résultat, qui est une moyenne, soit exact, il cache que certains climats se sont réchauffés et d’autres refroidis. Ce qu’a montré Vincent Courtillot dans une conférence à l’université de Nantes (en 2009 ?) maintenant censurée. L’évolution des températures en Europe et aux Etats-Unis au XXe siècle n’a pas du tout été identique alors que le CO2 a cru dans les deux cas.
2) Toute mesure physique suppose une marge d’erreur. Au mieux, pour les mesures actuelles de températures, elle est de 0,1°. Inutile de dire que l’évaluation des températures il y a 150 ans se fait au doigt mouillé.
3) Enfin, la moyenne des températures est issue de mesures réparties très inégalement à la surface de la terre à cause de l’importante surface des océans. Des balises marines ne sont plus entretenues, laissant place à des interpolations. Interviennent aussi les corrections dues aux îlots de chaleur urbains ou au voisinage des autoroutes...
Sans parler de la suite : les modèles numériques totalement dépendants des hypothèses et des paramètres.
Bref tout cela comporte trop de biais pour être crédible. Toutes les mesures et leur présentation sont orientées par le résultat qu’il faut obtenir... Exactement comme pour le Covid qui, sur le fond, obéit aux mêmes motivations.