M’enfin la monnaie on l’imprime,
et la culture de demain à toujours été affaire de niche, d’avant-garde.
Si le slogan "go woke-go broke" se vérifie chaque jour un peu plus,
Ca ne remet pas (pour l’instant) en cause le "bien fondé" ou la solvabilité de la démarche.
De même que l’antiracisme, ou le mélangisme, fût tout a fait impopulaire,
à ses débuts, malgré un bon sens populaire largement tolérant....
rendant par la même la démarche inutile, non avenue.
Et qu’il a couté des milliers de milliards, il serait aujourd’hui tout à fait incongru
de décréter la moindre hiérarchie raciale dans les rapports quotidiens.
(les rapports de vis à vis).
Comme quoi, même à pertes massives, en dépit du bon sens,
et en étant refusée par le public,
une culture de niche peut s’imposer comme la culture globale.
Je pense que c’est ce que n’ont pas compris les opposants à la culture woke
le temps est long, les fonds illimités...ils peuvent se permettre d’aller
à contre-courant (contre-public) une généréation et démie, voire deux,
le temps de changer les moeurs.
Il n’y a que les petites gens et les idéologies logiques qui répondent à
l’impératif de sens, et à l’impératif économique.
La politique qui imprime sa propre dette n’a aucun impératif de sens,
de logique, de popularité de profit ou de marché.