Le summum du roi bourgeois est Charles III avec son couronnement comme point d’orgue du ridicule.
L’ancêtre du nouveau roi actuel, Edouard VIII, avait eu, lui, le bon goût d’abdiquer en faveur de son amour pour une femme divorcée en 1936.
Avec Charles III, c’est tout le contraire : non seulement, il n’a pas renoncé au trône mais il fait de son bulldog de Camilla une reine divorcée en crème chantilly. Pire, avec son oecuménisme religieux, il place de facto la monarchie anglaise sur le terrain d’un régime républicain laïque qui est neutre en garantissant la liberté de conscience aux Anglais. Le couronnement de Charles III est la négation même du sacrement royal au travers d’une cérémonie théatrale ridicule qui n’a plus que l’apparence de la monarchie.
En plus, physiquement, lui et sa femme, vieux, ridés au whisky, affreux pour tout dire, ne ressemblent plus qu’à une caricature de monarques du type Louis-Philippe en France, le "roi des Français", c’est à dire un roi bourgeois par excellence.
Pitoyable !