Alain Soral a prodigué une leçon sans accroc, ni faille de journalisme éthique et déontologique à une prostituée intellectuelle se présentant sous le masque d’un journaliste "épris de vérité" et s’en tenant à "l’indépendance" du média dont il est un rouage jetable et remplaçable à volonté.
Ces putains de journalistes encartés se démerdent toujours et aisément pour ne jamais raquer, y compris en recevant une méritoire leçon de maître d’un niveau tel que ce dernier n’aura plus jamais l’opportunité d’en gouter à nouveau sans passer à la caisse.
L’écart intellectuel et moral entre la serpillère encartée et le maître du logos est si manifeste qu’une telle représentation demeurera l’ultime tentative d’un grand média dominant de concéder un temps de parole grand public à celui que personne d’entre la clique de journalopes n’osera affronter en face à face.
La stature morale de cet être de chair et de sang qui naviguait autrefois dans les chastes contrées de la volupté luxuriante des beautés vagabondes a pris une nouvelle perspective répondant aux changements cruels des paradigmes de l’existence de l’homme occidental en chargeant l’homme viril d’une tribulation par laquelle l’accomplissement de l’esprit éthérée transcende le vécu, le présent et le temps.
La grandeur d’un homme sincère se mesure à l’inaltérabilité de sa bravoure ou a l’incorruptibilité de son âme que l’esprit protège dans sa grâce infuse et permanente.
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