« Quand vous entendez quelqu’un employer le syntagme "extrême-droite" pour tenter d’invalider un argument, vous pouvez être sûr que vous avez affaire à un con*, un séide du disque ourcourant incapable de voir, même si on lui montre, l’automatisme de la chaîne des signifiants...
*Le con se définit de jouir toujours de la même façon, sa jouissance étant d’ordre masturbatoire... »
Christian Dubuis Santini - Psychanalyse lacanien, auteur.
c’est quand même un comble de la part de la caste mondialiste de choisir de nommer les citoyens les plus paisibles et attachés à la prospérité et aux libertés publiques comme « extrême… »
C’est une belle inversion accusatoire, venant de gens qui sont malthusiens honteux, obsédés par l’intimité des familles et celle des corps, décidés à imposer partout une censure féroce, responsables de guerres partout aux frontières de leur « espace vital », en totale collusion avec les plus grandes entreprises (ce qui est une définition classique du fascisme), prêts à tenter d’interdire les plages et les montagnes, masquer les enfants de deux ans en plein apprentissage de la parole, gouvernant sans nuance au 49.3, auteurs de lois involontairement hilarantes à base de café devant être consommés debout ou assis, on ne sait plus, et monomaniaques du contrôle numérique.
L’extrême est au pouvoir, et d’ailleurs comme tous les extrêmes totalitaires, il est perdu : il n’a aucun humour, aucun avenir, et il est ridicule.