Bon allez "doute et charité" avons nous souvent dit.
Admettons.
Allez admettons.
Je trouve ici la phrase que j’ai prononcé dans ma tête en visualisant ailleurs cet extrait. "Mais il y a la grâce.".
Ce terme qu’on ne sait pas vraiment définir ni décrire quand on n’est pas artiste ou du milieu sinon que par "beau" "joli" "harmonieux" etc. mais lorsque cette "grâce" n’y est pas, elle n’y est pas.
Mais au delà de ça, quelqu’un m’a alpagué en me disant ailleurs "mais tu comprends pas, c’est de la transphobie".
Punaise non !
A défaut de grâce, des patineurs hommes ça existe non ? Femmes aussi non ?
Lui/elle peu importe : que fait il/elle ? du patinage , qu’avons nous vu ? du déséquilibre de l’incertitude.
Rien à voir avec l’individu dis-je, mais cette personne, n’est pas entraînée, point.
On dirait moi au lycée en train d’apprendre à tenir debout sur la glace, la même tête en me demandant pourquoi j’ai lâché le bord, en train de faire la corrélation entre le fait que je ne fais aucun mouvement mais j’avance, je glisse sur deux trucs de métal et une plaque de glace.
"Mais tout va bien se passer, on respire, on anticipe la chute, dans quelques secondes je serai au sol, c’est normal j’apprend"
C’est un flop total.
Et quand on connait l’âge ce que j’ignorais jusqu’à ce que je lise l’article ici...en effet 59 ans !
Aah ben oui forcément...je comprends mieux encore.
Sans vouloir faire du jeunisme mais on n’a pas la même souplesse à 59 ans qu’à 25. Même avec de l’entrainement.
Allez je dirai même maintenant la charité doit être là...
à 59 ans c’est une performance à remarquer.
Mais non...on en revient à la "grâce"...
Quitte à promouvoir choisissez le bon . Là cela n’a fait que ridiculiser les choses.