Ça pourrait être une anecdote, mais le milieu artistique regorge de prédateurs et prédatrices de toutes sortes. Les élites qui les engagent ou plutôt enrôlent favorisent les pires...car :
1- cela permet de les contrôler et les "canceller" à la Weinstein et cie très aisément.
2- ils savent que ces êtres contribueront à promouvoir la décadence ambiante, car ils nagent déjà dedans jusqu’au cou. Ardisson à littéralement changé le visage de la television française, devenue l’une des plus écoeurantes au monde.
3- cela sert aussi à fracturer la population, en instillant la méfiance des médias chez les gens qui ont encore une morale. Diviser pour régner a toujours été le motto des élites.

Aujourd’hui à la radio la plus écoutée au Québec, les journalistes défendent Hunter Biden : ils minimisent sa consommation de drogue, ne parle pas de sa consommation de prostituées (pourtant un homme blanc quinquagénaire riche et privilégié qui exploite de très jeunes femmes sinon filles et leur fait consommer des drogues ; et puis il est fier de son engin ! Les feministe detestent cela pourtant !). Il leur faut des preuves des preuves etc...qu’ils ont déjà, mais dont ils savent que le public ne les verra pas avant un procès et parce qu’il y a des choses trop sensibles pour les bonnes gens : labos ukrainiens, corruption durant le règne de Saint-Obama et probable pédophilie...
Morandini n’est pas assez utile au pouvoir pour mériter la même défense que ses collègues journalistes et artistes accordent à Hunter ou à Polanski, mais il reviendra sûrement à l’écran, et il sera encore plus obéissant et méchant contre les gentils qui s’attaquent aux élites.