Combien encore, en France, continuent de croire que l’Amérique est notre "oncle", notre "ami", notre "allié" ?
Beaucoup de personnes bien entendu puisque les programmes scolaires et les médias de la propagande mondialiste-otanesque "font du bon boulot" depuis des décennies en lessivant les cerveaux...
Ceux qu’on appelle les néoconservateurs yankees oeuvrent au chaos depuis très longtemps. Leur force réside dans leur art indiscutable du long terme, de l’infiltration, de la manipulation perverse et de l’emploi de l’argent pour acheter les âmes de ceux qu’ils cooptent partout dans les appareils d’états européens.
S’en prendre à présent à la Russie - selon le plan de Brzezinski et son "Grand Echiquier" (à lire pour comprendre leurs stratégies) - est, me semble-t-il, le meilleur moyen de mettre fin à l’hégémonie mortelle de ces néocons.
Les droites patriotes des pays d’Europe "otanisés" ont cependant un p...... de talon d’Achille : leur incapacité à l’union pragmatique. Faudra-t-il que la France soit presque totalement dissoute dans l’acide néoconricaine pour réagir ?
Ce n’est pas exclu du tout tant l’anomie est massive dans notre pays. Il nous reste à nous accrocher à l’Apocalypse de St Jean si toutefois son interprétation peut faire officie de perspective opérante.
Ariane BILHERAN nous rappelle l’analyse (entre autres) de Nietzsche sur les "civilisations malades" dont la caractéristique est de mettre en valeur le ressentiment. Il faut reconnaitre que nous devons faire attention à ne pas nourrir ce ressentiment qui est souvent l’aveu indirect d’une évidente impuissance.
D’où la pertinence de la pensée soralienne "la victoire par les burnes" et accessoirement par les ovaires car nous avons, nous les femmes, notre rôle à jouer dans le soutien de nos guerriers.
Sortir de l’OTAN ou en sortir les néocons qui parasitent l’organisation, quelle que sera l’option, il faudra le faire et vite.