Malgré la violence des hommes, l’incroyable ascension de la belle Aurélie Filippetti
11 octobre 2022 14:34, par philoupetto
Szilber et Filipetti ont dans les 50 ans.
Les femmes citadines de cette classe d’âge ont été particulièrement futiles et déséduquées. A leurs 20 ans coïncidant avec les années 80, elles étaient poussées à se secouer dans les boîtes de nuit et les salles de sport (danse ! Danse !). N’avaient d’autre religion que le tofu-yoga et leur épanouissement. Ne lisaient plus rien. N’avaient pas appris la musique. Se lançaient avec enthousiasme dans les emplois de bureau et les bullshit jobs. Apprenaient à leurs gamines à faire la peste en rose bonbon et à mépriser les petits garçons. Ont singé les hommes et se sont mises à être lourdingues comme ils savent l’être, côté sexe.
Les écri-vaines nous ont soûlés de leurs descriptions intimes à gerber, pas naturelles, forcées donc, encouragées à le faire par les éditeurs. C’était le bouquin de Q ou pas de public. Je ne sais plus laquelle est allée jusqu’à s’identifier à un homo masculin, en célébrant les joies sacrées de Sodome, coutume proche-orientale de substitution, désagréable ou douloureuse pour la femme, en vue de tromper les parents et futurs maris des vierges . Rien à voir avec les coutumes européennes ni avec quelque plaisir que ce soit.
Or les hommes en général n’aiment pas plus les femmes lourdingues, que les femmes n’aiment les hommes maniérés.
Chacun son truc et ses défauts. Chassez le naturel, faites la carpette pour accéder à l’estrade, vous aurez Filipetti et Szilberstein.
Leurs bonshommes n’ont pas beaucoup d’exigence, finalement. Ils ne doivent pas aimer les femmes.