Je suppose qu’une solution réelle qui marche passera plutôt un groupe d’individus plutôt qu’un type isolé ; sans réseau, pas moyen de fonctionner. (Sans feedback de nos proches, il est difficile de se rendre compte quand on prend une mauvaise pente, pourquoi n’en irait-il pas de même pour un chef d’état ? Dans cette optique il faudrait un entourage de personnes ultra-sages)
Qu’est-ce qu’un projet qui marcherait ? Il faudrait demander l’avis des GENS DE BASE ; j’en sais rien, moi... recueillir l’avis d’un million de personnes vraiment DE BASE, et on pourrait dégager des idées communes. Ensuite, on remet sur la table ces idées communes et on redébat.
Jetez-voir un oeil sur le lien suivant :
Le post-impérialisme : esquisse d’un nouvel ordre social
Je suppose qu’Hitler s’est retrouvé dans une situation qui lui a permis de formuler une idéologie et de la mettre en pratique. Un gars tout seul comme ça ça peut pas marcher.
On voulait, veut et voudra toujours :
un lopin de terre
une femme et des enfants
du boulot et à manger
des persones sensées et responsables pour maintenir la cohésion, en tant que chefs, en qui le peuple a confiance pour la gestion des affaires. Des gars dont on est sûr qu’ils ne sont pas là pour profiter. Des gars pas faillibles.
Moi si j’ai ça tu m’oublies et tu me vois plus !