Depuis 4 jours, les médias conservateurs américains sont visés par les sénateurs démocrates (Mitt Romney, Hillary Clinton), pour avoir révélé que l’Ukraine abrite des laboratoires US qui testent, préparent et manipulent de dangereux pathogènes tels que l’Anthrax et des déclinaisons du Coronavirus.
La journaliste US patriote et conservatrice Tulsi Gubbard, auteur de ces révélations, est menacée de poursuites pour haute trahison, bien que le gouvernement Biden n’ait, à ce jour, toujours pas nié l’existence de ces laboratoires, et se soit au contraire ému que la Russie s’en soit emparé.
Puisque le statu quo ukrainien pourrissait depuis 2014, devant un Poutine parfaitement maître de ses nerfs, se peut-il que la main-mise russe très subite sur l’Ukraine soit principalement motivée par la volonté de Poutine d’empêcher que ce shithole de tiers-monde européen serve de base de lancement de la prochaine guerre bactériologique de l’Empire ?
Qu’un virus made in laboratoire parte de Chine, c’est une chose, mais qu’il soit lancé depuis l’Europe dans 5 ou 10 ans, ferait l’effet d’un Tchernobyl bactériologique d’ampleur similaire à Hiroshima, et c’est ce que Vladimir Poutine voudrait empêcher : la guerre est donc bien eschatologique, d’où la suggestion du Sheikh Imran Hossein, suivie d’une triple dénégation, que le Président russe serait, de par la symbolique et l’envergure prométhéennes de son combat, une possible incarnation de la figure d’Alexandre le Grand.
Ce recoupement du géopolitique, du mystique et de l’épique est, quoi qu’il en soit, des plus troublants et mérite que l’on s’y attarde.