Je ne pense pas que la jalousie soit en cause.
La convoitise serait plus appropriée.
Un âne, s’il est jaloux d’un cheval de course, ce n’est pas pour l’égaler en vitesse,
c’est plutôt pour cacher sa faiblesse dans le domaine.
Je n’ai rien contre les ânes, mais un jour un des ces monstres (du Poitou) a voulu écraser mon gentil petit chien d’un coup de sabot, tout maladroit qu’il a été d’être pri de vitesse lui aussi !
Si on refait la génêse du problème de la chloroquine, dois-je me répetter, c’est d’avoir scindé le monde en 2 camps. Les pro-chloroquine et les pro-conseil scientifoco-politique ou si vous préfèrez, les pro-Raoult et les anti-Raoult. A l’époque, même Donald Trump avait annoncé qu’il faisait le choix de la chloroquine en pleine bagarre, en prenant le soin de ne pas faire allusion à Raoult,c’est vous dire !
Et c’était brillant et stratègique de sa part, car nommer son ennemi ou nommer l’ennemi de cet ennemi, revient à le nommer quand même.
La convoitise, vous dis-je, à l’mage de la position actuelle de la France dans les tableaux que nous montre Raoult en comparaison avec celle passée (40% des publications scientifiques mondiales étaient françaises avant (sic et re-sic)) !
A la convoitise même si elle intègre sans doute une part de jalousie, je rajouterai quand-même la casse systematique de l’intelligible !