Au début j’appréciais le combat des Gilets jaunes. Je les ai soutenus, contre certains de mes proches, qui n’ayant pas de fins de mois trop difficiles, avaient tendance à les dénigrer. Mais petit à petit, la propagande, la manipulation, la récupération du mouvement, par des "alliés" lui étant en réalité hostiles, ont démontré, que pour le moins, les G J n’étaient pas intellectuellement prêts pour le grand combat. Ils ont vite montré leurs limites cérébrales, que cachait mal une détermination affirmée de façade, qui d’ailleurs tourna court. À leurs légitimes revendications initiales, qu’ils ont laissé noyauter trop facilement, ne pouvait succéder que l’échec. Quand ils ont commencé à se soucier du sort des "migrants" qui sont autant d’envahisseurs remplacistes et parfaitement concurrentiels, au plan social, mon estime pour le combat des G J a fondu, plus vite que la fonte qu’on veut nous faire croire de la banquise. Je me suis dès lors désintéressé de leur mouvement, tout en leur souhaitant, cependant, d’obtenir quelques avancées sociales pour leur niveau de vie.
Mais si maintenant, en plus, ils rejoignent la cohorte des pleureuses climatiques, alors, là, c’est sûr que je te les envoie péter. Et définitivement. Car il me faudrait dans ce cas, considérer, que la précarité chronique est bien le corollaire naturel, de la stupidité génétique. Ou l’inverse. Dans un cas, comme dans l’autre, je ne peux rien pour eux. Et d’ailleurs, je m’en taperais. Si les G J refusent de comprendre, que tout ce dont on les prive, profite à d’autres et qui eux, sont les vrais parasites vachement décomplexés, alors c’est que la destinée des G J, doit s’accomplir dans la douleur.
Inch’Allah !