Je salue ce leader musulman exceptionnel, un homme sage vivant très modestement dont l’influence est immense. C’est l’architecte de la résistance dans la région. Au Liban, c’est Ali Khamenei qui a nommé le jeune Hassan Nasrallah à la tête du Hezbollah pour succéder à Abbas Moussaoui après son assassinat par l’entité sioniste. En Irak, il a répondu favorablement à la Fatwa du Grand Ayatollah Sistani appelant au djihad contre Daech et les hordes takfiris. Résultat, la mobilisation populaire a vu le jour juste après la chute de Mossoul en 2014. En Syrie, Ali Khameneï chargea feu le général Quassem Souleimani de prêter main forte à l’armée syrienne en pleine débandade. Partout, l’Iran soutien les mouvements de libération. Que ce soit en Palestine ou au Yémen, l’aide de la république islamique est précieuce. C’est la raison pour laquelle l’Iran est la bête noire des prédateurs internationaux. Le programme nucléaire n’est qu’un prétexte. Les États- Unis ne peuvent pas tolérer l’indépendance de l’Iran d’autant plus que cette indépendance est appuyée par une industrie militaire nationale performante qui a fait ses preuves. Le plus grand malheur du monde musulman c’est la division et la trahison des dirigeants corrompus. L’unité est un chantier immense. Le chemin est encore long. L’Imam Khomeiny disait que si chaque musulman versait un sceau d’eau sur Israël, ce régime se noierait.