L’idée centrale qui domine le but poursuivi par cette méga-structure qui est appelée à se constituer en chaîne territoriale consiste à ériger un système de contrôle de la science médicale et des établissements publics ou privés de santé afin de piloter l’activité des départements dédiés à la recherche et en premier lieu la prescription thérapeutique à travers ce qu’il est d’usage de nommer les protocoles thérapeutiques qui ont pour fonction de se substituer aux médecins prescripteurs et de supprimer ainsi la liberté de prescription de ces derniers en leur imposant une médication type et préétablie.

Cette organisation structurelle mondialisée s’inscrit dans le schéma des politiques totalitaires des grandes institutions spécialisées pilotées via la maison-mère rattachée à l’ONU.

La recherche médicale et l’ensemble des traitements à visée thérapeutique seront strictement encadrés par l’hyper-structure déshumanisée qui émettra des avis que l’autorité publique sera tenue de consigner et prendre en considération en établissant des mesures à vocation juridique sous forme règlementaire qui s’imposeront à l’ensemble des établissements de santé et aux personnels de santé par voie hiérarchique et en particulier les médecins qui sont en première ligne à raison de leur position conférée par la loi et les titres autorisées dont ils ont été les récipiendaires.