C’est bien, ce qu’a décrit soral sur les vannes, l’humour, le grand jeu de la vie, parce que c’est une grande partie de l’âme de France, les 45,50,60,70 ans le savent, partout dans le monde qu’en vous voyagiez, tout le monde en parlant à un français disait " c’est la vie " le français n’était pas un pleurnicheur, sa santé était la meilleure du monde avec du foie gras, du vin et du pinard pour certains, il pêchait beaucoup, les week-ends, c’était les amis ou la famille, le camping, pour un grand nombre. Il était pas entrain de devenir un kramer contre kramer, parce que justement, c’était la vie ,il travaillait parce qu’il savait pourquoi il travaillait, les dépressions étaient justement rares parce que justement c’était la vie.
Il y avait les tartes dans la gueule et les trempes parce que c’est la vie. Et puis il a fallu être doux, prendre des psychotropes, fumer le petit à tout va, ne voir en la vie que des problèmes, pour arriver à aujourd’hui...mais il reste aussi des descendants ou la vie reste la vie, la vanne préféré de mon père, c’était " lui ( donc moi ) ,je l’ai commencé au sperme et finit a la pisse "
Et paradoxalement, c’est dans les cités et pas seulement les cités à majorité musulmane, les cités ou les chrétiens sont encore majoritaire ( les 80 %) que l’humour et la vanne se transmet encore.
Par contre les jeunes jusqu’à 30 ans ,bien élevé, blanc, bonne petite étude, le studio payé par papa et maman, c’est eux les tristes, sans enfants, avec la peur de construire et de se planter, ou on a vraiment l’impression que leur parents les ont attachés en leur disant que la vie, c’était pas la vie, et qu’il fallait faire attention ?
C’est donc sûrement bien les papas soral ou les papas moi. Quand je vois un bel handicapé ,j’essaie de faire rire autour, je vais pas devenir un hanouna avec la larme à l’oeil. C’est la vie.