C’est exactement ce que je suspecte : l’alerte est donnée sélectivement contre le vaccin choisi par les instances européennes, pour qu’on oublie les risques et problèmes associés aux vaccins différents utilisés dans les nations les plus soumises aux grosses compagnies pharmaceutiques. Les grandes pharmaceutiques ont les moyens d’influencer les médias, les ordres professionnels de médecins et les gouvernements en détournant l’attention et en couvrant leurs propres bavures, ce qui expliquerait pourquoi on parle seulement des problèmes liés au vaccin Astrazeneca. Il s’agit aussi de ridiculiser la position typiquement européenne du principe de précaution : le principe de précaution fait qu’on critique le vaccin choisi par les instances européennes et non pas les autres vaccins produits dans un tout autre monde, où il n’est jamais question de principe de précaution mais uniquement de gestion de risque et de gestion de crise, où l’on calcule les risques et les bénéfices à partir de statistiques manipulées. Du côté anglo-américain et à l’Ouest en général, on en viendra toujours à la conclusion que peu importe les risques, ceux-ci sont minimes comparés aux bienfaits supposés de ces vaccins, or il s’agit encore d’une entourlope statistique digne des pires exemples de relations publiques et de gestion de risque.