Attestation grotesque, confinement foireux : Macron en perdition
22 mars 2021 11:46, par PLB
Le peuple a un genou à terre. On l’empêche de travailler donc de vivre. On l’empêche de communiquer par le contrôle des médias, des réseaux sociaux, par la suppression du droit de réunion et de manifester. On laisse crever par la privation de soins les malades, on empoisonne les bien portant a coup de picouse, on cloitre les vieux pour les faire crever et maintenant ils veuilent s’en prendre directement aux enfants !
Ce décret relatif à cette attestation n’a qu’un seul but : provoquer le désarroi chez les veaux ; il aura pour conséquence de les faire se tourner vers le plus fort en mendiant, un syndrome de Stockholm appliqué aux masses.
Cette attestation n’a donc rien de grotesque ni de foireux si on se place du point de vue du gouvernement. Bien au contraire, elle s’inscrit dans une stratégie de soumission du peuple et de suppression DEFINITIVE des libertés.
On entend parfois que celui qui tentera de se révolter n’aura aucune chance puisqu’il se confrontera à la puissance de l’état qui n’hésitera pas à déchainer la violence physique, judicaire et financière contre tout récalcitrant : c’est l’argument du pot de fer contre le pot de terre, celui des lâches qui espèrent que dans leur soumission, vaille que vaille, ils pourront s’en sortir. C’est vrai pour un individu, cela ne saurait être vrai pour un grand nombre d’entre eux.
Au point où nous en sommes, je crois malheureusement que la seule porte de sortie est une résistance active voire violente à tous les individus, entités étatiques ou non qui exigent notre soumission. Plus nombreux nous serons plus nous engorgerons le système.
Quand nous commencerons par répondre « ta gueule » a ceux qui nous ferons des remarques sur le port du masque, sur la distanciation sociale et aux flics qui nous emmerdent. Si nous refusons massivement de remplir ces attestations, de répondre aux flics, aux juges et aux prélats du système ils perdront le contrôle. Ça n’ira pas sans casse, sans incarcération, ni sans une terrible répression, mais c’est le prix de notre liberté et de celle de nos enfants.