Partie 2
En toute logique, les personnes piquées devraient donc, à l’avenir, réagir aux agents pathogènes et leur tout nouveau "mécanisme de défense" entraîner en quelques jours la destructions de leurs organes sans que bien entendu le lien ne soit fait entre le "vaccin" et les différentes affections (reins, poumons, cœur etc.) puisque les covidés décéderont de pathologies diverses statistiquement impossibles à imputer à leur injection bienfaisante.
D’ailleurs, il faut préciser à ce sujet que les pathologies n’apparaissant qu’à mesure que les cobayes seront confrontés de manière aléatoire aux virus pathogènes qui circulent, ils ne déclencheront pas de symptômes en même temps (bien foutu, merde, quand même) pour encore mieux brouiller les pistes.
Ce qui semble en revanche certain, c’est que chez les personnes âgées, "les plus faibles" comme ils disent, l’occurrence d’une issue fatale est de l’ordre d’une année, et peut-être moins avec les deux injections qui leur sont imposées.
Soyons les bienvenus dans le monde merveilleux d’Attali...Ou pas, mais il faut pour cela réapprendre reconnaître les vertus qui demeurent chez les autres quand on n’en possède plus soi-même.
Prions aussi pour que la médecine de demain soit déjà opérationnelle (ma boule de cristal qui a tout prévu me dit que oui) car j’ai bien peur qu’à l’instar de tous les mafieux organisés en Ordres (avocats, huissiers etc.), les médecins ne subissent un traitement populaire qui en réduira le nombre de manière drastique.
Je ne suis pas certain que le fait de suivre les injonctions et les stimulations financières de la CPAM et de l’Ordre pour piquer la population en masse soit à présent une bonne option, mais je peux bien entendu me tromper.
Et encore, par charité, je ne parle pas des médecins issus de la communauté des vendeurs de pantalons à une jambe qui trustent les médias pour nous vendre leur solution finale à nos problèmes de santé...De toute façon et depuis quelques années, même pour eux, Genève n’est plus un ville très sûre, trop de dangereux complotistes là-bas.