Adorno et son échelle fasciste revisités
4 janvier 2021 20:30, par brunrouge
Ce type de texte fondé sur une vision judaïque des faits, des émotions, portent beaucoup de contradictions ou disons d’aprioris.
De même que antisémite est un contre sens dans son expression, les arabes étant des sémites. Les expressions « personnalité autoritaire » et son « échelle Fasciste » mises cote à cote, imposent dés le début et sans débat, ni explication le lien qui est aujourd’hui devenu pavlovien et obligatoire :
autoritaire = fasciste = mauvais = macho, etc...
On fait une liste de tout ce qui est autoritaire et on induit que c’est l’essence même du fascisme. Si un pays comme Israël est un pays autoritaire il devient subséquemment un pays fasciste. On est proche d’un des slogans les plus pauvres idéologiquement : CRS = SS.
Plus loin encore, opposer "antidémocratiques et autoritaires." reviendrait à affirmer que une démocratie ne peut être autoritaire. Non. A nouveau le bien et le mal selon l’esprit hébraïque qui serait : démocratique le bien, autoritaire, le mal.
Toute l’idéologie qui deviendra la pensée de mai 68.
Lorsqu’on sort le qualificatif "fasciste" de son contexte, de sa réalité, de son essence, et qu’on le confond volontairement à un concept satanique, on cache en fait une idéologie satanique, elle bien réelle et factuelle.