« Tant qu’il n’y aura pas ça, eh bien l’économie ne repartira pas, les jeunes ne retrouveront pas toute leur liberté et pour tout dire, on restera fortement emmerdés. »

Je souhaiterai que pareil clown nous fasse la démonstration de son théorème par des courbes : en reprenant par exemple le dernier pic pétrolier (celui de consommation) de 2005, la crise de 2008 qui a suivi (comme à chaque fois toutes les catastrophes économiques ont suivi lesdits pics depuis que le monde est “pétrole”) et nous montre ensuite où s’en trouve la fameuse croissance si chère à l’économie (et aux prétentions électorales des caciques), en passant par les taux d’intérêts négatifs, l’on en passe et de meilleures.
Quelle économie va repartir si ce n’est celle - éphémère si cela part en vrille - des dividendes répartis aux parieurs sur le “vaccin” et autre GAFAM en attendant le blackout ?!
À l’heure où seules les guerres totales permettaient de recomposer le Kapital* (si l’on néglige les escroqueries de modification de monnaie, ancien franc, nouveau franc, abandon de l’étalon or pour la “confiance”, accès au crédit illimité jusqu’au taux négatif, surévaluation de la valeur de la “marchandise”, euro, etc...) un seul vaccin résoudrait l’équation ?
Tocard !
L’on négligera aussi la différenciation volontaire du propagandiste entre les jeunes et les autres, concernant la liberté.

*Kapital de merde selon ma vision.