Je suis d’accord sur le fond avec Gilad Atzmon mais pas sur la forme, les mots qu’il utilise sont boiteux, ce ne sont pas les rêves de gauche le problème mais les promesses, les promesses de ces lendemains qui chantent et qui toujours déchantent, et du coté de la droite, bien sûr que oui la droite ne rêve pas puisqu’elle use du réel sans aucun problème jusqu’à instaurer sans état d’âme l’armée de réserve du capital, dit d’une autre manière : l’exploitation de l’homme par l’homme, sur cette planète, la droite et la gauche sont une fabrique de la république démocratique pour diviser le peuple lequel se présente un et uni sous la royauté, laquelle, en 1789, nécessite d’être améliorée mais pas dégommée, comme elle le fut pas les francs-maçon travestis en jacobins de combine avec les maîtres de l’usure-dette. Gilad Atzmon aurait dû parler du rêve américain, vendu à l’adresse du monde entier, et qui n’est qu’un cauchemar pour ce même monde entier, et depuis peu, pour les américains eux-même, et à y regarder de près, le rêve américain n’est rien d’autre qu’une belle promesse pour des lendemains meilleurs et qui jamais ne sont meilleurs, la preuve en est aujourd’hui, les pays sbires des ricains vont le payer comptant, content ou pas, et seul les pays qui auront résisté aux sirènes du fric et du matos à tout va ne payeront pas le leurre trompeur et anesthésiant du rêve américain en toc, et c’est là où à nouveau les paroles de Jésus Dieu fait homme prennent toutes leur pertinence et leur justesse : nul ne peut avoir deux maîtres, entre Dieu et la thune faut choisir.
Or, c’est le cas de le dire, d’une manière ou d’une autre, la gauche comme la droite choisissent toujours la thune, via des itinéraires différents, ici même se positionne l’arnaque : la thune, la richesse, monts et merveilles pour demain si vous y mettez du cœur, allons-y mes braves, fabriquons le bonheur !
Mais bien sûr, vas-y ! roule ma poule ! mon cul c’est du poulet.
Bien à vous les internautes