Quand bien même les gonzes avait anticipé la tempête et son passage dans le Sud-est, autant le niveau d’alerte rouge s’est avéré pipi de chat sur son flanc ouest qu’il fut bien en-dessous de ce que fut la tragédie dans l’arrière-pays plus à l’est : bouts de village, ponts, routes, stades, arbres, personnes jusqu’aux professionnels, le tout avalé par les flots, déchiqueté en petits morceaux. Du jamais vu disait-on...
Pour bien connaître le coin de ces trois vallées, l’encaissement de ses vallons, leurs bassins versants, la dangerosité de leurs routes due tant aux phénomènes météo que de la qualité de la roche, l’on prend l’ampleur de ce que l’acquis, aussi grand semble-t-il paraître, peut être réduit à néant en une fraction de seconde.
Il en est ainsi lorsque les digues pètent ou que l’accumulation des éléments devient tumulte et fureur : cela vaut pour le sursaut des âmes et des foules, dont nul ne peut prédire quand la digue va se rompre et que tous ceux qui font barrage vont se prendre la (deuxième) vague qu’ils espèrent, dans les dents : humaine, la marée...
Lorsque cela va péter de sorte que les forces se rééquilibrent, il en est qui vont danser...
Hein Janet la clique elle va danser ?

Ne pleure pas Janet ♫ tra lala lalalala