Une lutte entre un vieux peuple indo-européen (l’arménien est avec l’indo-iranien, dont procède le perse, le kurde, l’hindi et l’ossète entre autres, et l’anatolien, groupe aujourd’hui disparu parmi lequel figurait entre autres les langues hittite, phrygienne et lydienne) et l’une des premières nations chrétiennes d’un côté, et une puissance altaïque, orientale, islamique et despotique de l’autre (soutenue de surcroît par l’oligarchie juive israélienne, à mettre en parallèle avec le soutien des juifs séfarades à l’envahisseur islamo-berbère pendant l’occupation almohade de l’Espagne médiévale).
Une alliance indo-européenne (slavo-irano-arménienne) fédérée autour de la Russie orthodoxe, de l’Iran mazdéenne et chiite et l’Arménie catholique, contre l’envahisseur despotique turco-azéri, digne des pires despotes orientaux (Gengis Khan, Attila, Mehmet II). Le problème se situe bien au-delà d’une opposition entre Christianisme et Islam, c’est le combat entre le monde libre européen (et non pas occidental) et le despotisme oriental qui entre en jeu dans ce conflit. Mon choix est vite fait.
L’éternel affrontement entre les producteurs sédentaires européens et les prédateurs nomades afro-asiatiques, fussent-ils huns, mongols, avars, arabes, berbères, tatares, turcs, khazars ou carthaginois. L’Europe ne doit pas devenir une annexe de l’Asie (pas plus que de l’empire thalassocratique atlantiste). Soutenons nos cousins arméniens mais également nos cousins grecs et chypriotes et chrétiens d’Orient face aux impérialismes néo-ottoman, sioniste et yankee (bien que ce dernier semble s’étioler depuis l’élection de Trump, ce qui constitue un aspect positif de l’évolution historique de la situation géopolitique mondiale).