Alexis Cossette – Le peuple fait trembler l’establishment
11 août 2020 19:16, par Temet Nosce
Les gouvernements tremblent déjà car les conséquences économiques seront terribles...surtout en Europe ou ca allait deja tres mal, notamment en France, pays de fonctionnaires. Déjà, des manifs de milliers de personnes pour l’obligation du masque, c’est énorme au Québec qui n’a pas du tout une culture de protestation. Il ne faut pas oublier que pour un seul manifestant, une centaine ne sont pas venus manifester. C’est l’arbre qui cache la forêt.
Mais ceux qui craignent vraiment le peuple (à ne pas confondre avec la masse qui a bien été décrite par Ortega y Gasset) ou plus précisément la classe moyenne travaillante, ce sont les médias de masse. Leur haine contre les complotistes (devenus les conspirationnistes et meme les négationnistes du virus) cachent leur panique de disparaitre à tout jamais, de voir leurs anciens lecteurs ne plus leur accorder une confiance aveugle comme auparavant. Ainsi ils attaquent des gens comme Cossette qui citent leurs sources (j’ai meme été étonné que l’accusation de nazisme pour le choix du slogan jour de la liberté soit tout-à-fait vrai....et ces medias nous parlent de complotistes qui voient des theories loufoques partout, alors qu’ils en créent tout-le-temps, notamment avec la soupe aux chauve-souris !). Leur mort annoncée ne saurait tarder...en mentant grossièrement sur les chiffres des manifs (deja commencé avec les gilets jaunes ...et quand c’est Melanchon et les BLM ou encore les trucs LGBT ils gonflent les chiffres plutot), ils se tirent une balles dans le pied...sinon dans la tête. Il suffit de voir la section des commentaires du journal le plus populaire au Québec et le plus virulent contre les ’’complotistes’’, le Journal de Montréal : la grande majorité des lecteurs sont contre les mesures et appuient Cossette. Même si ce journal censure les commentaires, il y a tellement de commentaires complotistes qu’ils ne peuvent pas ne pas en publier une partie...et il y a si peu de commentaires de moutons appuyant la répression, qu’au final on comprend que dans la population le ras-le-bol débute.