1961 : les Français sont-ils racistes (et antisémites) ?
31 mars 2020 10:39, par Laurent Guyénot
On voit bien que le mot « raciste » est un piège sémantique. On a ici des gens qui expriment avec honnêteté un sentiment naturel : ils préfèrent fréquenter et être entourés de gens de même « race », c’est tout. Selon la théorie de la « ressemblance génétique » (Genetic Similarity Theory) de Rushton, fondée sur des recherches expérimentales, une personne éprouve d’autant plus d’empathie pour une autre personne qu’elle est proche de lui génétiquement (tous autres facteurs égaux par ailleurs). Cela s’observe même chez les nourrissons. Il s’agit d’une donnée anthropologique universelle, une loi naturelle. Par conséquent, le droit à la préférence raciale fait partie du droit naturel, quoi qu’en dise le droit positif. Cette loi de la préférence génétique (j’aime mieux mes enfants que mes neveux, etc.) est la loi fondamentale de toute société organique (et en parlant de vision organique de la société, on pense à Proudhon). C’est une loi générale, qui n’interdit pas les exceptions (c’est dans l’exception que l’homme est le plus intéressant). Mais culpabiliser les blancs (et uniquement les blancs) pour ce sentiment naturel, jusqu’à leur faire haïr leur propre race, voilà la pire des aliénations.