Ce débat est déjà cloisonné d’avance par les termes choisis, qui non seulement criminalisent les innocents (car ce ne sont pas les français qui ont pour objectif de détruire tout un peuple...) et qui en plus ne permettent pas la réflexion de fond.
Il ne faut plus parler de réactions comportementales individuelles, c’est par là qu’ils nous tiennent, mais de filiation et de génération.
Avant l’immigration massive comme stratégie politique destructice de l’Europe, le peuple français était un peuple homogène, lié à ses ancêtres, avec un patrimoine historique, terrestre, culturel mais aussi biologique qui se transmettait.
La famille, dans sa continuité, s’inscrit dans le temps par l’Histoire d’un pays et par les générations, ainsi que dans l’espace par l’occupation d’un territoire, et forme un peuple déterminé, qui se distingue par des caractéristiques propres des autres peuples, voilà de quoi il faut parler.
Si on parle avec leurs mots, on accepte de porter les ornières intellectuelles qu’ils veulent nous faire porter, et on accepte de se retrouver jugés à leur place, alors que ce sont eux qui doivent être jugés pour leur oeuvre criminelle à notre égard.
Maintenant, relions nous à nos ancêtres, car seul ce lien de filiation nous permettra de reprendre conscience de ce que nous devons à nos descendants : un avenir, une terre, un héritage.
Et ceci permet aussi d’identifier réellement le coupable et son crime : qui souhaite retirer leur terre et leur avenir à nos enfants ?
C’est un crime odieux et abjecte, arrêtons donc de nous laisser jugés à la place des assassins !