La Merkel a attrapé la grippe corona-blague, paraît-il. Ou la maladie de Kuru.
C’est vrai qu’elle tremblote moins. Le virus a muté.
La voilà confinée, comme nous. La mafoia règne d’autant plus, comme au temps de Yeltsine, plus à l’Est.
Les médias utilisent les morts ordinaires du quotidien (tout le monde ou presque finit par mourir à l’hosto) ou les morts de grippe indéterminée (A ? B ? corona ? etc....) pour sidérer le bulot sans raison. Cette tactique était utilisée lors de la guerre de Yougo. À l’époque, les morts étaient soit fictifs, soit tués de fait par les accusateurs prétendus victimes.
Le mort rapporte, d’où qu’il vienne, quel qu’il soit. On le déterre s’il le faut. On lui viole la sépulture, on le maquille, on l’invente. Il est parfois vivant.
On observe que la courbe des morts (médiatique, invérifiée, qui ne fait aucunement peur au Pr Raoult) augmente dans les régions OTANisées ou très parasitées et taxées (Lombardie, Sicile, France...), de façon à instaurer un confinement "sévère" comme dit (et veut) la mairesse Hidalgo. Elle est proportionnelle au taux d’occupation et à la sévérité de l’entaulement des citoyens.
Hier, la "France" a échangé avec l’Iran ses prisonniers. Daesh rapplique par chez nous. C’est inquiétant, quand on a suivi ce qui s’est passé au Kosovo lors du lâchage d’Albanais incendiaires, permis par les bombardements préalables et l’épouvantable Albright.