La dualité du sale et du propre,pour ne pas salir par terre on met une table,puis pour ne pas la salir,une nappe,puis des sets de tables pour ne pas salir la nappe,puis des portes couteaux,pour ne pas salir le set de table...
Vivement que l’on puisse revenir au sol battue...avec un chien,pour nettoyer le culs de mômes,et dégrossir la vaisselle.
La nature sera toujours moins sale qu’une ville,la ville c’est comme la richesse,propre qu’en apparence,il n’est point de richesse dont l’origine ne soit tout à fait avouable.
La ville est forcément préhistorique,si la Permaculture ne s’impose pas,c’est simplement par ce qu’elle porte en elle les germes d’une autre forme de distribution des ressources,la ville a généré les monocultures,la ville...n’a pas d’avenir,ou alors comme en guise de tombeau pour l’espèce.
C’est par survie que nous y sommes allés,ce sera également par survie que nous la quitterons...
Sinon,il faudra envisager d’aller sur la frigide planète Mars,continuer nos charmantes virulentes tumeurs architecturales...pour nous y agiter,jusqu’à ce que la sagesse finisse,peux être,par nous étreindre.