Patriarcat et médecine officielle : réponse de Béa Bach à Bérengère Viennot
29 décembre 2019 10:13, par goy pride
L’ail est chez moi plus qu’un condiment, c’est un légume ! On en ingurgite des quantités colossales ! Une de mes préparations préférées c’est une aïoli version "hardcore". Au lieu de mettre 4 gousses d’ail je mets une tête entière qui sera au préalable mixée. En fait cela ressemble au toum libanais sauf que je rajoute un jaune d’œuf pour faire bonne mesure et plutôt du vinaigre de cidre au lieu du jus de citron...
A propos de la méconnaissance des femmes (occidentales) en ce qui concerne le fonctionnement de leur appareil génital c’est une caractéristique de la modernité où les gens sont déresponsabilisés, infantilisés et abêtis. Les femmes du passé n’avait pas d’autre choix que de bien connaître le fonctionnement de leurs organes car il n’y avait pas de contraceptifs, les abortifs et l’avortement n’étaient pas aussi simple qu’aujourd’hui...la visite chez le gynéco cela n’existait pas...et donc sa santé et son maintien était de la responsabilité personnelle de chacun.
La modernité abrutissante et infantilisante n’a rien à voir avec le patriarcat mais tout avec ce totalitarisme imposé par une caste de parasites dont un pourcentage sensible appartient à une certaine petite communauté dominatrice et sûre d’elle même.