j’avais déjà fais un commentaire sur les "révolutions" mais il n’a pas été publié sans doute car pas assez précis : je disais que l’analyse des révolutions et des causes de révolutions même si ce n’est pas une science exacte fait l’objet d’une véritable discipline (que votre serviteur pratique a titre professionnel) que l’on appelle l’analyse "Risque Pays" a partir d’une base théorique commune les assurances, les banques, les multinationales, les services de renseignement etc.. déclinent a leurs propres sauces cette base théoriques et Mathématique. vous pouvez retrouver cette théorie notamment dans la norme bancaire BALE 3 au paragraphe "risque pays" ou dans des cours d’actuariats. je ne vais pas refaire mon post initial qui voulait expliquer les principaux paramètres de calcul du risque de révolution mais en synthèse pour la France les calculs donnent deux grands résultats : le salaire moyen national est encore trop haut pour une révolution (il y a encore trop de gens qui ont trop a perdre pour renverser la table, le deuxième résultat est le calcul de la surface des "classes moyennes hautes et des élites" qui reprennent le discours dit révolutionnaire et qui est actuellement trop faible aussi en France pour une vraie révolution. AS a expliqué dans plusieurs vidéos que effectivement le basculement pour un renversement de pouvoir se faisait au final sur un nombre restreint de personne. Ce qui ne remet pas en cause le mouvement GJ leur objectif ne doit pas être de renverser le pouvoir mais d’occuper le terrain et de trouver les bon relais pour que a un moment donner certaines élites constituées disent stop. A noter que les calculs pour la France la place quand même en zone a risque fort de "déstabilisation" c’est a dire a fort risque de voir apparaître en dernière minute un nouveau Macron de droite ou d’extrême droite qui prendra le pouvoir en soufflant sur les braises de la contestations. Ce qui veut dire que même sans révolution le pouvoir en place ne doit pas si bien dormir quand même
Amicalement Le Carthaginois