Comment est-ce qu’on peut défendre ce stigmate ?
Sans reprendre deux controversés contemporains du « coin », adeptes des punchlines dont celle fumeuse « Mais qu’est-ce que j’en ai à foutre de ta grand-mère ? », allons chercher l’un de « nos » anciens et l’une de ses répliques :
« Ecrivez-nous de quoi vous avez besoin, on vous expliquera comment vous en passer. »
Maître Yoda Branco, l’on peut être quelqu’un de bien tout en se pignolant* de la Shoah, des Clous du Christ, du pucelage de la Vierge Marie, du nombril d’Adam (qui n’en a pas), d’Enki, des moines trappistes et autres Toltèques.
Il en fut ainsi, de s’en tamponner, au temps des chasseurs cueilleurs, au temps des des gens de bien vivant en harmonie : c’était, selon ce qu’en ont retenu les mythologues, le Paradis sur terre, c’est vous dire : peut-être sont-ce les dogmes imposés par les hommes (se prétendant religieux pour quatre sous) qui nous l’ont fait voir autrement. Au diable cette relecture, au diable les mythes contraignants, Shoah comprise.
Tiens, Assange* a-t-il alerté l’Homme libre à cause de la Shoah (ou grâce) ou bien en son âme et conscience ?
Aussi, Maître BrankYo, coller à l’Humanité la Shoah comme une « Reluque, je suis ta mère », se trouve comme le dirait l’Amiral Ackbar*, celui de l’Empire, jusqu’à ce que cela devienne une mémoscopie : "It’s A Trap !" : que tout geek tourne comme bon lui semble et pour « votre » stigmate : "Seriously, who gives a crap ?"
Pour ma part, pour faire amende honorable des exactions passées, tous les soirs, au nom de l’Humanité tout entière, je me glisse un feuilleton de Papa Schultz dans le cornet : du Stalag 13 en pénitence. Aum !
* Ackbar associé phonétiquement à l’Empire (du mal), ça c’est de la Quenelle ! Que la Farce soit avec nous...