Il est désormais à la portée de très nombreux terriens de pouvoir refaire le monde avec leurs claviers, et cela donne de fameux feux d’artifice… dont les mots tonnent ou brillent, pour disparaître en un instant.
Pas de bouquet final, mais des bouquets de fusées tirées dans tous les sens, en défiant la plupart du temps le simple bon sens.
Les empoignades sur Trump, formées ainsi d’artificiers en rangs serrés, devraient conserver leurs munitions, car il semble de plus en plus improbable qu’ils ne parviennent à lui faire sa fête.
Il y a bien des tentatives emberlificotées pour vouloir interpréter ce Président à crinière qui décoiffe, quand il se fait parfaitement comprendre d’un peuple qui n’est pas l’addition des nantis et des happy few des deux cotes américaines.
De la même façon, si les experts et autres politologues se perdent dans leurs circonvolutions pour savoir ce que fait et ce veut l’oncle Sam, les gros bras de pays qui ne possèdent pas de statue de la liberté à leur porte d’entrée, comprennent parfaitement ce qu’il fait, et réalisent de mieux en mieux ce qu’il ne veut pas.
La paix à marche forcée c’est effectivement nouveau, et on comprend qu’ils commencent tous à être sur les nerfs… avec celui qui détient le nerf de la guerre.