Salut,
"être ou ne pas être..." enculeur ou enculé ? Je vais vous raconter une histoire et ce ne sont pas des histoires (pas que !). Chef d’entreprise (ça veut juste dire que c’est moi qui ai mis le plus de pognon dans le bourrier...) dans le bâtiment (une sous caste) j’ai souvent l’impression d’être la proie de tout un ramassis d’enculeurs (et je pèse mes mots). Mon comptable, mes clients, mes fournisseurs, les différents organismes qualifiés d’officiels (et il y en a, croyez moi), les salariés, mon garagiste, mon assureur etc... tentent régulièrement de me la mettre profond ; alors, j’esquive, tente une parade, reste sur mes gardes, pratique la roulade latérale (à développer...), mais rien n’y fait, ils sont toujours là, essaient et essaient, encore et encore. "juste le gland" me susurre t’on parfois ! Non, je ne veux pas !!! On t’aura un jour, on t’aura (...). Rien n’y fait, je les renifle, les aperçois de loin ; ils se regroupent, imaginent des stratégies, m’encerclent, un véritable Gang Bang se trame ; mais je n’ai pas lu le scénario et quoiqu’il en soit je suis persuadé de ne pas apprécier le dénouement, si si, per sua dé ! Un jour peut être, las, usé, voire tout simplement fatigué ou malade, trop vieux peut être, l’un d’entre eux (un seul j’espère...) de part ses perfidies récurrentes, aura raison et saura mettre à mal ma combativité et tentera le coup de grâce... tentera simplement, parce que dans un dernier sursaut, je prendrai mes jambes à mon cou (mauvaise posture ?) et laisserai sans regret tomber tout ce "merdier" (sens propre et figuré...), qu’importe les conséquences ! Alors, à votre avis, suis je, un enculé potentiel, un homophobe convaincu, un homosapienphobe, un enculeur contrarié ou tout simplement un parano inquiet ? Hein ?
Note à l’attention de "la censure" : A défaut d’être publié, j’espère, très sincèrement, vous avoir fait bien marrer !