Boris Johnson menace l’UE : "La libre circulation des personnes se terminera en cas de Brexit sans accord"
20 août 2019 17:19, par Maurice Jean-fils
Acte 1 : Boris refuse la migrantaille transitant par l’Europe. Acte deux : il nous balance la sienne, récente ou ancienne, mais bien criminelle, une fois ses frontières protégées. Pour l’instant, il accueille à tout va du migrant plutôt asiatique, pas chinois, sans aucune gêne.
À Londres, les résidents qu’on suppose européens en sont réduits à déménager vers d’autres horizons. Le maire s’appelle d’ailleurs Sadiq, très copain de madame Hidalgo. Les jets d’acide en pleine figure représentent environ 300 cas par an, des jeunes se font assassiner, quasiment par jeu, en pleine rue. Tout est amoché par la livraison de quartiers entiers au commerce de bas étage et au mauvais goût indo-pakistanais. Les écoles ne sont plus des lieux d’instruction pour les jeunes Anglais obligés de vivre avec des hordes hostiles et des profs idiots et larvés du cerveau, les filles peu argentées se maquillent outrageusement et finissent parfois dans des sales pattes "asian", sans même profiter d’une île au soleil ou d’un prince Androu. Tout est cher, les salaires ne suivent pas, sauf peut-être à la City.
Donc la France, en première ligne, risque de subir une situation si intolérable que ça pourrait finir en guerre de sang. Nous aurions alors une dictature féroce et soudaine, remplaçant la dictature larvée mais encore vivable que nous subissons.
J’espère me tromper. Autre hypothèse : un vidage de population excédentaire se préparerait. Reste à savoir de quelle population il s’agit.