De Boris Johnson à Farage en passant par les mini-bots, on assiste au déchaînement de la comedia dell’arte. Car dans les coulisses rien ne change, comme le prouve la rencontre entre Conte et Juncker consacrant le report des amendes infligées par la Commission à l’Italie. https://www.zerohedge.com/news/2019...

Rien ne change dans la politique économique de l’Italie. Rien ne change non plus dans le carcan fiscal et budgétaire qui étouffe la société italienne. Oser faire croire que les flux monétaires passeraient directement de l’Etat aux entreprises, c’est se moquer du monde. Parce que les transactions monétaires avec les entreprises utilisent des billets maintenant ?? C’est à croire que ces gens anticipent déjà les brouettes géantes de Weimar. Un tel niveau d’amateurisme laisse pantois et prouve encore une fois que la politique spectacle sombre dans la mascarade permanente destinée à faire oublier les vrais problèmes comme l’application de la gouvernance écologiste mondial avec une transition énergétique hésitante devant la perspective du chaos engendré par le tout électrique de bien mauvaise augure ou la lutte entre l’Empire américain shooté à la dette en dollars et ses rivaux eurasiatiques qui se font couper les jarrets avec la mise en berne du plan de développement high tech chinois à l’horizon 2025 et la perspective d’une perestroïka 2.0 à Moscou avec l’échec économique et social de Russie Unie qui n’a toujours pas compris que l’Etat technocratique totalitaire conduisait le peuple russe et ses acolytes au cimetière.