Apolline de Malherbe a vraiment un visage et un regard rempli de fournerie, de mesquinerie et également d’agressivité. C’est très subtil. Pour donner un exemple facilement vérifiable, il faut revisionner l’émission "c mon choix" ou Soral présentait son livre sociologie du dragueur. D’un côté la pétasse (la femme du même acabit de Malherbe) de 38 ans qui adore travailler dans la publicité et qui revendique adorer aller au travail (et sans enfant) et d’un autre côté la femme de 27 ans épanouie, 28 ans 5 enfants et complètement à l’opposé. Et je trouve que dans les plateaux télé, les journalistes présentent toutes la même caractéristiques, celle d’être dans l’art de la degueulasserie dans toute son abjection.