Charles Gave : "La guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine va durer trente ans"
3 juin 2019 20:31, par nicolasjaissonComment faire oublier les turpitudes chinoises, en abusant du jeu dialectique entre les super puissances qui sortent toutes du moule des Illuminati et des banques. Parce que la Chine moderne est une création des banquiers centraux américains et des multinationales comme IBM, Accenture, Caterpillar, Boeing, etc ce qui relativise l’originalité du modèle chinois par rapport à son mentor américain depuis que Truman a abandonné les nationalistes pour leur préférer le parti communiste chinois oeuvrant pour la même cause du nouvel ordre mondial placé sou l’empire des banques clients de Charles Gave. CG ne parle jamais du fonctionnement bouffonesque dy système monétaire chinois passé maître dans l’art de la manipulation monétaire et du financement de l’économie par la dette recyclée entre de multiples compartiments permettant d’alimenter tour à tour les différentes bulles spéculatives comme l’immobilier, les actions, les commodities etc.afin de neutraliser le trop plein de dettes et de soutenir artificiellement l’économie par une dette improductive dans la moitié des projets d’investissement. La Chine exporte son modèle déflationniste à l’étranger, en période de désendettement en rachetant les fleuron stratégiques, notamment dans les pays européens avec les PME allemandes spécialisées dans les nouvelles technologies ou en rachetant des actifs stratégique à l’étranger, comme la terre russe, les terres arables américaines ou les mines de métaux en Amérique du Sud ou en Afrique. A l’heure où le marché américain se ferme et où les resources en eurodollars indispensables aux activités des entreprises chinoises à l’étranger se font rares, d’où l’achat indispensable de bons du Trésor US, les Chinois ont un besoin urgent de marchés de substitution, parmi lesquels l’Europe et l’Union économique eurasiatique figurent en tête de liste. Il reste à savoir si le consommateur européen dispose du pouvoir d’achat suffisant à l’heure où les banques centrales européennes gardent la masse salariales sou contrôle et les autorités de surveillance regardent d’un mauvais oeil les rachats d’entreprise et autres infrastructures par des fonds chinois en quête d’avantage stratégique à remporter sur les concurrents européens. A cet égard la transition énergétique fait figure de cheval de Troie, même si le consommateur européen n’a pas les moyens de s’offrir les véhicules électriques alimentés par une énergie hors de prix, alors même que les géants de l’automobile licencient.tous massivement.