La pornographie, c’est de la prostitution dévergondée, fière d’elle même qui s’exhibe au grand jour, décomplexée ; avant elle était confinée aux maisons closes, des lieux bien délimités... puis on l’a libérée pour qu’elle s’insinue un peu partout dans nos rues , et maintenant elle est visible par n’importe quel couillon avec un smartphone.
Ce que je n’arrive pas à biter, c’est comment la femme s’accommode de son image de pute devenue publique...ça crève l’écran et elle semble fière de la consommation vulgaire de sa beauté.
Dans un monde capitaliste où la dignité à un prix, donc aucune valeur, la perte de celle-ci peut-être compensée par de l’argent, et l’argent étant un signe de fierté, on se met à les confondre : on devient fière de perdre sa dignité. paradoxe plutôt amusant.
Bref, le problème vient de l’actrice car à un moment ou un autre, avant de se faire souiller, elle signe un contrat... Le consentement vient précisément de là pour répondre à sa question. Il serait intéressant d’en avoir un sous les yeux pour voir réellement de quoi il en retourne. Puis disons le clairement, l’école républicaine et hollywood font bien leur taf : la blanche moyenne tient davantage de la crétine narcissique que de la pucelle orléanaise, sans parler du toubab, cet idéaliste foireux dont l’arrogance cartésienne lui fait accepter à peu près tout et son contraire... ça fait 50 piges qu’il vote à droite puis à gauche, pas étonnant qu’il encule sa femme sur un piédestal.
Après on peut avoir une vision machiavélique et dire que les blancs sont des grosses victimes de la communauté du soleil qui tient le bordel juteux et rayonnant de la prostitution virtualisée mais cela relève plus du constat que de l’explication...