Quand Finkie dit qu’un descendant de déporté n’est pas une victime, au même titre qu’un enfant d’esclave ou de colonisé, je trouve la ficelle un peu grosse.
Un fils d’esclave devrait vivre en Afrique, il se retrouve à Brooklin.
Un fils de déporté pourrait encore vivre en Pologne, il est dans le 16e...