Pensant citer Marc Bloch, Benjamin Griveaux cite Charles Maurras par Fiodor Vassilievitch Tokarev
Benjamin, on parait toujours moins con d’avoir cité Maurras par erreur, que Gilles Verdez ou Matthieu Delormeau ou même Marc Bloch, tu t’en sors bien dans l’histoire , non ?
Maintenant pour t’en sortir avec panache, et rester à gauche (puisque tu penses être de gauche) tu devrais rajouter une ou deux citations bien choisi, comme
L’histoire de la démocratie nous offre une combinaison bien remarquable d’utopies et de mythes.
Georges Sorel
Les ouvriers n’ont pas de patrie » dit le Manifeste communiste de Marx et d’Engels. Au contraire, les ouvriers ont une patrie plus encore que les bourgeois qu’on pourrait considérer eux, comme les vrais « sans patrie » ; car le riche est le vrai « déraciné », qui, partout dans le monde, où qu’il se trouve, se trouve bien, précisément grâce à sa richesse ; tandis que l’homme du peuple, le pauvre, le dépaysé, déraciné, transplanté, livré à la double domination capitaliste et étrangère, est doublement esclave et malheureux. En fait dans l’histoire, ce sont les classes riches qui, le plus souvent pour un ignoble intérêt de classe ont vendu la patrie à prix d’or, […] alors que les classes populaires la défendaient avec l’acharnement le plus magnifique
Edouard Berth
Être gouverné, c’est être gardé à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré, par des êtres qui n’en ont ni le titre, ni la science, ni la vertu
Pierre-Joseph Proudhon
La misère fut la cause première des richesse. Ce fut elle qui créa le premier capitaliste. Car avant d’accumuler la "plus-value", dont on aime tant à causer, encore fallait-il qu’il y ait des misérables qui consentissent à vendre leur force de travail pour ne pas mourir de faim. C’est la misère qui a fait les riches.
P.Kropotkine
Et là, tu sors de ce flop, de ce fiasco, de ce bide, par le haut et avec la droite des valeurs et la gauche du travail, qui t’ovationnent
C’est toujours possible , mais pour ça fais un tour sur KontreKulture
A bientôt trou-d’uc