Secrets de polichinelle...
La vie est belle en calebut à Brégançon, une corona fraîche dans une main, une paire de jumelle dans l’autre pour mater les gueuses...
Méfiance quand même vis-à-vis des ’’balances’’ officielles : n’importe quel individu conscient et informé sait que le milieu du show-biz, des affaires et de la politique est infesté de consommateurs de drogues synthétiques, légales ou pas.
Quant aux cannabis en particulier, sa prohibition sert à deux choses :
empêcher une certaine émancipation des peuples au niveau des matières premières puisque la plante a d’innombrables qualités industrielles documentées ;
permettre aux quartiers pauvres de survivre.
Son usage comme psychotrope peut être problématique pour certaines personnes mais il est thérapeutique pour d’autres. Concrètement c’est soit un marché clandestin perpétuel sans aucun contrôle sur le produit, soit un article légalisé et contrôlé à fins récréative et médicale.
La meilleure solution étant de lui (re)donner son rôle industriel en tant que fibre et molécules de premier choix et d’alternative au pétrole, aux pesticides, engrais etc. Le gouvernement canadien avait émis en 2008 une étude présentant ces faits.
10 ans plus tard, ils ont légalisé la consommation et la vente à fins récréatives et il n’y a pas eu de hordes de drogués-zombies déambulant dans les rues. Rien n’a été fait sur le volet industriel.
Les Français se sont fait rire en pleine poire depuis des années par des vilains drogués, méchante découverte.