Sarah Constantin, prototype de la militante mondialiste promue par les médias mainstream
15 octobre 2018 14:16, par Sevles anciens avaient prévenu depuis longtemps, les femmes lâchées sont toujours pires que les hommes. Si ces derniers ont à leur triste palmarès des guerres sanglantes à n’en plus finir et des conquêtes jamais rassasiées, les femmes "libérées" basculent dans l’hystérie et quand elles sont soutenues par cette autre violence qu’est la coercition d’état (avec l’aide des armées constituées pour ça) l’hystérie verse à terme dans la barbarie.
Je rappelle une lecture éclairante sur ce phénomène : "De Faust à Ubu" de Gérard Mandel. Ouvrage où l’auteur creuse le substrat à partir duquel germe la barbarie collective (dans le livre : le nazisme) et qui produit une humiliation répétée des hommes (les mâles). Son étude démarre avec l’avènement de l’homo sapiens sur terre et tout le parcours de la soit disant "intelligence". Et l’on comprend qu’après les incessantes humiliations, l’esprit des hommes bafoués est mûr pour faire advenir un dictateur, un dur, un costaud pour remettre de l’ordre.
Les femmen (femm’haine) ne luttent pas pour leur supposée libération ni celle des véritables humiliés (sinon, elles seraient au fin fond de l’Afrique, de l’Arabie Saoudite et de la Palestine où ça tue dans le fracas du silence médiatique) mais pour achever ce qui reste du Père, symbole de l’ordre, l’anti chaos.
Macron n’est pas un homme mais un garçonnet, soupçonné de surcroît de faire aussi dans l’inversion, comme écrivait Proust. C’est pourquoi il a largement plu aux femmes actives, jeunes et rêvant de faire carrière dans le monde ouvert. Les prochaines présidentielles françaises verront probablement une femme portée par la même fine équipe, ou à défaut une autre du même tonneau qu’ils auront sortie d’une fondation euroricaine pour l’occasion. C’est la logique du plan de destruction d’un monde traditionnel supposé avoir été dominé uniquement par les mâles.
Les femmes sont 100 fois meilleures lorsqu’elles conseillent dans l’ombre comme le firent des centaines de grandes dames, reines et autres ambitieuses qui voulaient, légitimement s’extraire de la misère. Je pense, entre autres, à Frédégonde qui combattit la reine Brunhaut (Brunhilde, pour l’Histoire) par des accouplements choisis parmi la lignée royale de l’époque. On pense aussi bien sûr à la Médecis ...
Les femmes sont porteuses de vie... mais aussi de chaos et leur esprit complexe (sournois ?) en fait d’excellente maniganceuses d’arrière plan. s
Et c’est une femme qui l’écrit.