Nos sociétés occidentales, l’histoire l’a prouvé, ne sont pas des assemblages hétérogènes propres à devenir un agrégat solide, avec l’apport excessif de populations africaines.
Le nombre renforce le communautarisme. Chacun de se revendiquer, avec de plus en plus de violence, de ses origines, de sa couleur de peau, de sa religion. Origines qui ne sont pas diluables comme le furent par le passé les immigrations européennes.
Il ne s’agit pas du masque social mais racial, osons le dire !
Toute l’Europe est concernée par le problème.
Le rêve de société multiethnique est un cauchemar inventé dans des usines à penser diaboliques (du lat. diabolus "celui qui divise"). Quelqu’en soient les raisons : besoin de main d’oeuvre esclavagisée, disparition des nations dans la violence de guerres civiles... tout cela nous dirige, à moins d’une intervention miraculeuse, vers une gouvernance mondiale. C’est un plan.
Récemment, un généreux gauchiste a avancé l’argument de "l’explosion démographique africaine", me citant l’Algérie et le Nigéria. Qu’il fallait leur venir en aide. Je lui ai répondu que je ne me sentais aucunement responsable de cette situation. Avoir des enfants est une responsabilité, quand on peut en élever deux, on n’en a pas quatre.
Dans ma région, un jeune couple est arrivé d’Afrique avec un bambin, un autre est né en France, la femme est de nouveau enceinte. Ils vivent du minima social, sont logés aux frais de la princesse. Lorsque l’assistante sociale a abordé délicatement le sujet du nombre d’enfants dans leur situation, le mari a répondu : "Chez nous c’est comme ça". Ils ont ensuite parlé ouvertement de retourner au pays pour les vacances... comment est-ce possible ? Il faut croire qu’ils ont d’autres sources de revenus.
La remigration me paraît être la seule solution.