Deux petites réflexions, en passant.
1. Au fond, merci à messieurs Klarsfeld et Mitterrand d’éviter au nom de Céline de figurer aux côtés de celui de Pompidou, inaugurateur de la mafia des prévaricateurs post-Gaullien, qui doit — entre autres — faire partie des "célébrés" de la "République". Si à la fin, Céline puait pour se sentir vivant ou se protéger des prédateurs, son nom, lui, ne sera pas souillé ce coup-ci.
2. Et encore merci à Messieurs Klarsfeld et Mitterrand d’inciter à la lecture de Céline ceux qui ne le connaissaient pas mais qui ont compris que, si c’est interdit par le Système, ça risque d’être intéressant.