Marché de Noël : le pied de nez de l’Élysée à Anne Hidalgo
8 août 2018 07:52, par jojo
En fait, je suis d’accord avec l’Anne sur la grande roue : elle dépare la perspective de la place de la Concorde, et tant mieux si elle disparaît.
Et ce n’est pas parce qu’il y a écrit "Noël" après marché, que les cabanons de commerce doivent être tolérés sur les places et dans les jardins publics. L’Anne nous inflige une place de l’Hôtel de Ville constamment couverte de tentes et estrades, alors qu’il y a des palais du Congrès et autres endroits prévus pour les loisirs et concerts.
Les cabanons ne gênent personne sur les Champs-Elysées, tant que l’offre des produits reste française, produite en France, de qualité, originale. Sinon, le supermarché du coin suffit.
Mais les Français sont appauvris ou déculturés, reculturés de force, presque contraints pour une grande partie d’entre eux d’acheter de la camelote chinoise ou rien, et l’offre suit la demande.
Des frontières à nouveau, économiques et géographiques, vite.