Je connais bien l’Islande, car j’y ai séjourné à plusieurs reprises et je m’intéresse beaucoup à la culture et à l’histoire de ce pays depuis de nombreuses années.
La possibilité qu’à eu cette île de sortir rapidement du marasme économico-social, qui à découlé du comportement prédatoriale de certains rapaces aux intérêts financiers égoïstes (toujours et encore les banques privées) est - qu’hormis d’être d’un pays minuscule - l’immigration y est réduite à la portion congrue et le chômage y est quasi-inexistant. De plus, les disparités salariales ne sont pas aussi flagrantes que dans la plupart des contrées européennes.
Par conséquent, l’immigration y est utile et efficace, en plus d’être "choisie" - terme qui fait frémir nos bien pensants hexagonaux, qui souhaitent que la France accueille toute la misère du monde (voir article "E&R", "A qui profite l’immigration ?". Ces derniers ne sont donc pas juste une excuse pseudo-humanitaire à la solde d’une certaine ethnie apatride ("Vive les Arabes, mais hors d’Israël") et, par conséquent, leur venue ne représente pas un boulet pour l’économie de ce pays.
Le territoire n’est donc pas envahi par des cohortes d’étrangers dont le seul but est d’avantage de profiter des largesses d’un système économique généreux (cf. La France) que d’apporter une pierre utile à la construction de l’édifice nationale.
Ne possédant pas d’anciennes colonies - comme cela est notre cas - les Islandais sont moins à même de culpabiliser sur le sort du reste de l’humanité - sans être des sans-cœurs - et encore moins, d’être manipulés dans ce sens par des instances extra-territoriales - styles organisations confessionnelles, dont il n’est pas utile de rappeler le nom ici ! Le complexe hypocrite à la "Enrico Macias", ce n’est pas la tasse de thé de ce peuple, fiers descendants des Vikings !
De plus, dans leur majorité, les Islandais "emmerdent" les Anglais et leurs intérêts économiques à la con et ne veulent pas payer leurs dettes face à la Perfide Albion !
Une leçon à retenir pour notre bon peuple de France, qui réfléchit plus souvent avec son cœur qu’avec son cerveau !