. "L’ex-directeur du FBI James Comey compare Trump "à un chef de la mafia" ".
Parfaite inversion accusatoire.
La lutte fait rage entre l’Etat-Profond et Trump : ce dernier doit être "dégagé" (come chaque Printemps de quelque chose...) à tous prix, dont cette diabolisation idoine ("Trump Bashing"). The Donald, ca reste l’énorme "cailloux dans la chaussure" pour la Cabale du N.O.M..
Car enfin, M. Comey soyez sérieux ! : à qui voulez-vous faire croire que votre employeur n’est pas précisément celui qui accuse l’autre d’avoir "la paille dans l’œil, en occultant que c’est lui même qui a LA poutre"... ?
Certes Trump n’est pas "blanc-blanc"..., certes l’Etat-Profond lui "serre le kiki" comme dirait Pierre Hilard, mais au moins son discours de campagne a eu le mérite d’être clair : tenter de sauver l’Amérique en remettant le peuple au cœur du monde multipolaire en cours d’élaboration.
Tout le contraire de la politique infâme menée par la faction communautaire des oligarques de la Finance internationale et de son N.O.M., dont le terme "mafia" n’est qu’un doux euphémisme.
. M. Comey : si "Killary" avait été élue en 2017, grâce à vos "bons et loyaux" services de sayan, serions nous encore là aujourd’hui à nous pencher sur votre cas, car vous êtes un sacré spécimen de "sot utile" militant contre les peuples et un monde apaisé, vous !