+ aussi ces citations de Pierre Gripari (1925-1990) issu du petit livre d’entretiens "Gripari Mode d’emploi" (éd. L’Age d’homme, 1985, 145p.), p. 127, 132 :
« A.P. – Tu crois au « complot juif » ?
P.G. – Non, pas exactement. Les juifs se détestent entre eux, et c’est bien naturel : quand on est raciste avec les étrangers, on l’est également entre soi. Aucun n’est assez pur pour les autres… Mais je crois à la tendance suicidaire des juifs. Ils sont toujours en train de scier la branche sur laquelle ils sont perchés, de cracher dans la soupe, de tuer la poule aux œufs d’or. Ils « ne ménagent pas leur monture ». Tournier le montre bien, dans les dernières pages du Roi des Aulnes… » (p.127)
« A.P. – Comment vois-tu la solution de la « question juive » ?
P.G. – Je la vois très simplement. En fait, le judaïsme est déjà condamné, d’abord par la jurisprudence internationale depuis les procès de Nuremberg, et puis en France, plus récemment, par la loi Pleven. A l’heure actuelle, la communauté juive s’accroche des ongles et des dents à ses dogmes les moins défendables, exactement comme l’Eglise catholique à l’époque de Pie XII. C’est le durcissement qui annonce la rupture. On ne peut pas continuer bien longtemps d’exiger à la fois les avantages du ghetto et ceux de l’assimilation… Et l’Etat d’Israël s’écroulera, lui aussi, comme l’Algérie française.
A.P. – Tu crois que c’est si important, le problème juif, à l’heure actuelle ?
P.G. – En soi, ce n’est pas plus important que le problème franc-maçon, témoin de Jéhova ou pédéraste… Seulement les juifs l’ont tellement gonflé que c’est devenu maintenant l’obsession de notre époque. Il y a une caste juive, une censure juive, une police idéologique juive, et pas seulement en Palestine occupée ! » (p.132)